Un pianiste qui n’a de classique que la queue de pie, un guitariste qui se prend pour Django et Santana est un bassiste champion du monde de groove.Après Beethoven ce manouche, Satané Mozart ! et Djobi-Djobach, les Swing’hommes renouent avec leurs premières amours et font sauter les verrous du concert traditionnel. Les trois interprètes vous inviteront à leur lancer des défis pour accomoder à la sauce que vous aurez choisie les plus belles pièces du répertoire.

Le divin compositeur ne se verra ouvrir la porte du Paradis que s’il parvient à terminer son requiem. Il sera accueilli en Enfer pour une «résidence d’artiste» le temps de trouver l’inspiration. Accompagné de son ange gardien (l’Ange Oliver) secondé par son démon (le démon Tepeneu), et sous l’influence de Lucifer, maître de cérémonie de cet étrange sabbat musical, il fera connaissance avec les musiques du nouveau continent. Tiraillé entre le bien et le mal, entre la tradition et la modernité, entre le respect du style galant de son siècle et l’inventivité du romantisme du siècle à venir, pris entre le bleu du ciel et le feu de l’enfer, il se livrera à mille contorsions et acrobaties musicales pour tenter de réconcilier et faire cohabiter dans son œuvre les deux parts de son génie.

Après 4 années de succès au Festival d’Avignon couronnées par le Prix du Public Off 2013 pour «Beethoven ce Manouche» la Cie Swing’Hommes présente en 2014 son deuxième spectacle d’humour musical: «Satané Mozart». Ses opéras, concertos et symphonies sont brillamment revisités par des virtuoses jouant 15 instruments de musique dans un swing endiablé aux accents New Orleans.

Dans la lignée de leurs deux précédents spectacles d’humour musical, « Beethoven, ce manouche » prix du public 2013 et « Satané Mozart ! », la Cie Swing’Hommes vous présente son 3e opus, né de sa rencontre avec la clown Muriel Henry qui en signe la mise en scène.

Au paradis, Oliver, l’ange contrebassiste dont le renom dépasse les frontières célestes, est chargé par Dieu de réconcilier les hommes par la musique et de créer une harmonie universelle.Il est « aidé » dans sa mission par deux génies des notes et de la mélodie, Ludwig van Beethoven, le génie du piano et Django Reinhardt, le manouche virtuose. Mais sa tâche n’est pas facile car les deux musiciens ont des caractères bien différents et notre pauvre archange se retrouve à jongler entre la vanité de l’un et la désinvolture de l’autre.Espérons que la chorale convoquée pour l’occasion saura remettre tout le monde d’accord…